« Jacques,
Tu es parti trop tôt, tu as tant donné à la trompe de chasse. Tu répondais toujours présent à chaque sollicitation comme juge, comme moniteur ou tout autre chose en rapport avec la trompe. Tu passais des heures dans ton bureau à écouter, composer ou rêver de notre passion commune. Des coups de gueule sont encore présents dans la mémoire de beaucoup de stagiaires qui ont pu profiter de tes précieux conseils. Lors de notre dernière entrevue, chez toi où vous nous aviez reçus, ton épouse Simone et toi, tu m’avais même donné des devoirs à faire à la maison, j’étais reparti avec ma dizaine de fanfares à apprendre, je les ai pas toutes apprises mais j’ai bossé. Tu vas me manquer. »
Rémi Favier
« Cher Jacques,
Ta bonhomie, ton enthousiasme, tes coups de gueule nous manquent déjà !
Tu as animé tant d’activités dans le monde de la Trompe belge et dans le Nord de la France. Toujours, tu trouvais le mot pour réduire les tensions, relancer l’enthousiasme.
Quel bonheur de t’avoir comme moniteur au stage de Saint-Hubert ! Un sourire par-ci, un froncement de sourcils par-là et la joie de deviser gaiement au bar.
Que toute ta famille et en particulier Simone et Camille trouve ici tout le respect et l’amitié que nous avons tous pour toi. »
François de Radzitzki